V1 'Flying bomb' launch base.

Site de lançement de V1 basé sur celui de Motteville ( 76).
Issue de la première génération de sites modifiés programmée le 6 janvier 1944, la base de Motteville en présente toutes les caractéristiques essentielles. Ainsi se compose t-elle d'un ouvrage amagnétique « Richtbau » bien détaché du centre de préparation dans lequel se regroupent sans exception tous les bâtiments destinés à la préparation du V1.
Le V1 ou Fieseler Fi 103 est conçu principalement sous la désignation FZG 76 (de l'allemand Flak Ziel Gerät 76).

Cette bombe volante propulsée par un pulsoréacteur Argus AS – 014 , contrôlée en vol par un pilote automatique Askania et maintenue sur sa trajectoire par un compas magnétique. Cet engin pouvait être catapulté à partir de bases réparties entre la Belgique et Cherbourg ou largué depuis un bombardier bimoteur Heinkel He 111.

V1.zip
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U-Bunker Scorff LORIENT.

Dès septembre 1940, l'Allemagne engage la construction d'une base de sous-marins à Lorient afin de protéger les U-Boot des bombardements anglais. Un premier abri bétonné sera rapidement construit sur la rive gauche du Scorff à LORIENT. Il est composé de 2 alvéoles et peut accueillir 4 sous-marins.

Début des travaux 1940, sur la rive gauche du Scorff.
Fin des travaux 06 Septembre 1941
145 mètres de long
51 mètres de large
15 mètres de haut
épaisseur du toît 3,50 mètres
2 alvéoles pouvant recevoir chacune 2 U-Boote même des Types VII et IX
Dimensions des alvéoles 99,5 mètres de long, 17,5 mètres de large
Notes
Une cuve pour un canon Flak Bofors de 40 mm se trouve sur le toit.
Le 01 Octobre 1941, inauguration par l'Amiral Doenitz avec l'arrivée de l'U-124.

U-bunker+Scorff.zip
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Pantherturm.

La tourelle de Panther utilisée en "position de campagne antichar" est du type PZ V (panzerkampfwagen) Ausf D. Elle peut ètre installée sur un tobrouk type bauform Vf250 ou bien sur un abri blindé transportable. Cet abri surportant l'importante tourelle et son canon de 7,5 cm Kwk 42/70, est entérré dans une fosse, la tourelle émergeant au ras du sol, pouvant éffectuer un tir sur 360 degrès. L'abri en acier comporte deux niveaux superposés: au dessus un compartiment combat où est située la tourelle, puis en sous sol une partie plus importante en surface aménageable qui accueille les munitions antichar de 75 mm suplémentaires, les munitions de 7,92 mm de la Mg 34 de tourelle, 3 lits superposés pour le couchage de l'équipage, un poêle de chauffage (avec cheminé d'extraction donnant à l'extérieur) et groupe éléctrogène pour la rotation de la tourelle. L'abri possède aussi une porte blindée et une sortie de secours avec échelons

Ce genre d'abri-tourelle a été utilisé en Italie en 1944 sur "La Ligne Gothique" ( de nombreux exemplaires ont été détruits ou capturés et largement photographiés par les alliés, qui les nommaient "Pillbox). On en retrouvait aussi courant 1945 installés trés tardivemnt sur certains points d'appuis du Westwall ou en défense de carrefours dans les rues de Berlin en avril 1945...
En  France il y aurait eu 3 exemplaires d'abris de Panther installés sur la ligne des Pyrénées face à l'Espagne ( SpeerLinie Pyrenaenfront), un au Col du Perthus (Ringstand), un autre au col de La Perche à Mont Louis, et un dernier à Hendaye- Hapetenea (Pays Basque)qui vient d'étre détruit.

PANTHERTURM camo 03.zip
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681 MG-Schartenstand ohne Nebenräume.

Bunker type 681 pour mitrailleuse MG08 avec blindage 729P3 et 7P7 sans local annexe.
Il comporte une entrée en chicane et un petit local de combat pour une mitrailleuse modele Mg 08/15 à refroidissement par eau montée sur affut à glissière, l'ensemble est protegé par deux plaques blindées de type 7P7 (100 mm d'epaisseur, 7,5 t) ce qui porte le blindage à 20 cm d'epaisseur. Deux niches placées latéralement permettent de stocker munitions et équipements divers d'un coté et un ventilateur HES 10 de l'autre. Une hotte placée au dessus de l'arme permet d'évacuer rapidement l'air vicié du aux tirs.

Fouille : 250m³

Béton : 300m³

Fer rond : 13t

Equipement : 2,5t + 15t de plaques de blingage;

Exemplaires construits : 38

Equipage : 3

Longueur : 11,60m

Largeur : 11,40m

Hauteur : 4,7t

Cloisons : 0,8m

murs et toit : 2m

 

r681.zip
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plaque blindage pour 681.zip
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Kriegsmarine Würzburg See Riese FuMO 215 de Douvres-la-Délivrande .

Le radar Würzburg (radar Wurtzbourg) a été le premier système de radar au sol pour le guidage d'artillerie de la Luftwaffe et de l'armée allemande pendant la Seconde Guerre mondiale. Le début des recherches date d'avant la guerre alors que le radar a été mis en service en 1940. En tout, l'Allemagne a produit plus de 4 000 radars Würzburg de différents modèles.
Contrairement à la Luftwaffe qui utilisait des moyens de détections contre les menaces aériennes , la Kriegsmarine était dotée de moyens de détection pour contre les objectifs navals . Des appareils à longue portée (Mammut FuMO 51) et des appareils à moyenne et courte portée (Würzburg See Riese ou Gema) étaient utilisés . Le principal rôle du Würzburg See Riese était de diriger le tir des batteries côtières ; certaines batteries lourdes (Lindemann , Todt , Grosser Kurfürst) possédaient leur propre appareil , couplé à leur poste de direction de tir .
La base était constituée d'une socle de béton hexagonal (regelbau V 229 / béton = 30m³) surmonté d'une plaque tournante , permettant une rotation à 360° et d'une plateforme , supportant une grande cabine destinée à abriter l'appareillage et les opérateurs . Deux bras , fixés aux extrémités de la cabine supportaient la parabole et permettaient de l'orienter de 0 à 90° . Celle-ci était construite en profilés d'alliage léger et garnie de tôle d'aluminium perforée et mesurait 7,50m de diamètre . L'ensemble des parties mobiles pesait environ 12 tonnes . La portée était de 40 à 80km , avec une puissance de 8Kw . La marge d'erreur sur un avion volant à 3.000m était de +/- 150m à 50km et de +/- 80m à 5km . Le modèle Würzburg Riese fut produit à 1.500 exemplaires .

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Douvres-la-Délivrande a été le site d’installation d’une station radar allemande.
À 23 heures dans la nuit du 5 juin 1944, les Alliés ont commencé un brouillage intensif des fréquences qui aveugla le réseau radar allemand tout entier de Cherbourg au Havre. Le matin du 6 juin 1944, les antennes de Douvres-la-Délivrande ont été rendues inopérantes par les bombardements alliés de l’artillerie navale.
Les troupes canadiennes qui avaient débarqué à proximité, sur « Juno Beach » ont tenté d’isoler la station, mais les Allemands la défendront avec succès pendant douze jours, en attente d'une contre-attaque des Panzers.
Le 17 juin, une offensive massive par les Britanniques (41 commandos des Royal Marines), précédée par un bombardement d'artillerie et appuyée par des déminages et des chars antibunker de la 79e division blindée, a obtenu la capitulation de la garnison.
La station radar de Douvres-la-Délivrande abrite aujourd'hui un musée montrant l'évolution et le rôle du radar. Le musée conserve également un des rares exemples conservés de l'antenne radar Würzburg.

Radar Wursburg.zip
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R639 Großer Sanitätsunterstand .

Bunker hopital.

Il intégre une salle d'opération, un local pour le dentiste et plusieurs chambres pour loger 25 blessés alités.

Il posséde son propre générateur de courant, un puisage d'eau et tout le sanitaire (lavabos, douches et W.C).

 

 

Fouille : 1850m³

Béton : 2325m³

Fer rond 116t

Equipement : 37,6t

Equipage : 9 (+25 blessés)

longueur : 25,7m

largeur : 14,30m

Hauteur : 5,1m

Cloisons : 0,8m

Murs et toit : 2m

R639 Sanit.zip
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Regelbau R643

Stand mit 3-schartenturm in A.

Regelbau R643 Abri avec cloche blindée .

Il possède un agencement constitué à la fois par :

une entrée protégée par un créneau de tir intérieur,

un sas,

une chambre de tir avec un créneau extérieur,

et une chambrée de troupe pour 6 hommes.

Ce modèle, réalisé en protection A ( murs et toit de 3 mètres)utilise le blindagte de cloche 20P7 modifiée en 20.2P7  à 3 créneaux de tir pour mitrailleuse.

 

Fouille : 3800m³

Béton  : 1460m³

Fer rond : 68t

Equipement : 72t

exemplaires construits : 9

Longueur : 20,2m

Largeur : 15,4m

Hauteur : 7,3m

Cloisons : 0,80m

Murs et toit : 3m

 

 

R643 Abri avec cloche pour MG.zip
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Regelbau M219 Stand für 15 cm SKC-28 in Drehhaube C-34.

Seulement deux exemplaires de ce bunker furent construits.
Ils étaient équipés avec des tourelles doubles de 15cm ( artillerie secondaire)  récupérées sur l'épave du Gneisenau après son sabordage.

fouille : 2530m³

béton : 1705m³

fer rond : 85t

Equipement : 13t

Exemplaires construits : 2

longueur : 22m

largeur :18m

hauteur : 7,5m

Epaisseur murs et toit : 2m

M219.zip
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Encuvement pour 155 Sfh.

encuvement pour 155 shf.zip
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Le canon de 155mm long modèle 1916 était fabriqué, pour le tube par la Fonderie de la Marine Nationale à Ruelle, pour l’affût aux Forges et Aciéries de la Marine d’Harcourt. A l’origine, pièce de campagne tractée, d’un poids d’environ treize tonnes, avec une cadence possible de tir de un coup par minute, des débattements de 6° en direction et de 0° à 38° en site, elle avait une portée maximale de 21.300m, pour un obus de 43kg de poids moyen. Une dizaine de batteries du Mur en Normandie en seront équipées, dont celles de Houlgate, Villerville, appartenant au même groupe que celle de Bénerville. Pour les férus d’artillerie, car nous en rencontrons parfois pendant les visites guidées, la vitesse initiale de l’obus était de 700m/s.
Trois munitions étaient utilisables: l’obus explosif en acier, modèle 158, de 42,9kg l’obus en fonte aciérée modèle 17, de 44,85kg et l’obus explosif en fonte aciérée, tronqué, à fausse ogive FATO modèle 18, de 43kg.
Howitzer 15,5 Sfh 420 (f) Saint Chamon "Schneider" modèle 1916 - canon Francais modèle 1916 de 155 mm - immatriculation allemande 15,5 Sfh 420 (f) - portée max 21300 m le modèle represente un 155 dans un encuvement du mur de l'atlantique

canon 155 Sfh.zip
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U-Bootbunkerwerft La Pallice.

La base sous-marine de La Rochelle est un immense blockhaus de la Seconde Guerre mondiale, destiné à abriter la 3e flottille de U-boots (109 unités) de la Kriegsmarine. Elle s'inscrit dans le contexte du Mur de l'Atlantique. Dans l'usage, on parle de la « Base sous-marine de La Pallice », La Pallice étant un quartier de La Rochelle (à l'ouest de la ville).
La construction, confiée à l'organisation Todt, débute en avril 1941 à l'extrémité est du bassin à flots du port de La Pallice (aujourd'hui Grand port maritime de La Rochelle), et nécessite l'emploi de 2 143 travailleurs : 632 ouvriers, 1 172 manœuvres auxquels s'ajoutent 290 ouvriers et 49 manœuvres de l'organisation Todt, pour la plupart des travailleurs forcés du STO. Les conditions de travail sont particulièrement pénibles, les travaux se poursuivent jour et nuit pour s'achever en 1943.

Type de port     Bassins
Nombre de blocs     1
Longueur du bloc     197 m
Largeur du bloc     175 m
Hauteur du bloc     De 21,30 m à 22,30 m
Epaisseur du toit     De 3,5 m à 7 m
Volume de béton coulé     425 000 m3
Nombre total d'alvéoles     10
Epaisseur des murs intérieurs     2 m
Epaisseur des murs extérieurs     De 2,5 à 2,8 m
Capacité d'acceuil     13 U-boote
Surface couverte     3,5 ha
Les alvéoles
Alvéoles à flot (3) : 1, 2 et 10
Longueur des alvéoles à flot     99 m
Largeur des alvéoles à flot     De 16,5 à 17 m
Alvéoles de radoub (7) : alvéoles 3 à 9
Longueur des alvéoles 3 à 7 (porte dans l'encoche intérieure)     82,20 m
Longueur des alvéoles 3 à 7 (porte dans l'encoche extérieure)     88,20 m
Longueur des alvéoles 8 et 9 (porte dans l'encoche intérieure)     84,35 m
Longueur des alvéoles 8 et 9 (porte dans l'encoche extérieure)     90,35 m
Largeur des alvéoles de radoub     De 10,75 à 11 m
Profondeur du bassin     10,20 m

LA PALLICE 01.zip
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Le toit de la base
Le toit de la base est composé d'une dalle de 3.5m d'épaisseur (c) renforcée par une deuxième dalle de béton munie de chambres d'explosion (f). Cette épaisseur de protection avait pour objectif d'amortir les effets d'une explosion et de protéger la première dalle de béton.
Au dessus de ce premier toit sera construite une structure de protection appelée "structure fangrost". Cette structure, faite de poutres de béton parallèles surélevées par rapport au toit, permettait de faire exploser les bombes avant qu'elles n'atteignent le toit de la base.

LA PALLICE 02.zip
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Flakscheinwerfer Flak-Sw 34 Bauart SSW (150cm).

Flakscheinwerfer (Flak-Sw 34, diametre 150cm) sur remorque Sd.Ah.104 avec son Stromaggregat (Maschienensatz 110v : 110V; 200A; 24 KW). Les projecteurs de recherche allemand de la deuxième guerre mondiale ont été utilisés pour détecter les avions ennemis pendant la nuit. Il existe trois grandes tailles, 60, 150 et 200 centimètres. Les projecteurs de recherche utilisent une haute puissance lumineuse avec des lampes à arc de carbone, couplé à une forte génératrice autonome à moteur Mercedes à essence.

• Puissance : 200 Ampere
• Brennweite: 640 mm
• Tension : 78V
• Porté : 10000 - 12000 m
• Constructeur : AEG
• Nombre produit : 5097

150cm searchlight.zip
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Le blockhaus d'Éperlecques.

Based on an 3D original model of EbolaRocks08  and find on google sketchup.

D'après un modèle 3d original de EbolaRocks08 paru dans Google sketchup.

Le blockhaus d'Éperlecques est un immense blockhaus de béton armé, construit à la fin de la Seconde Guerre mondiale dans la forêt d'Éperlecques (Pas-de-Calais). Prévu pour lancer les fusées V2 destinées à détruire Londres, il ne faisait pas partie du Mur de l'Atlantique mais des « constructions spéciales » destinées à abriter les armes de représailles.
Le site devait servir d’usine de fabrication d’oxygène liquide. Il devait également servir de base de lancement et assurer le stockage de 108 fusées, soit trois jours de tir intensif.
La construction est confiée à l’Organisation Todt en mars 1943 qui devait le livrer en état opérationnel en novembre de la même année. C'est le plus grand blockhaus du nord de la France, témoin de l'occupation nazie dans la région. C'est une masse de béton de 130 000 tonnes, longue de 200 mètres, large de 90 et haute de 22. Une dalle de 5 mètres d'épaisseur protège l'ensemble des bombes alliées.
Le site portait le nom de code KNW (Kraftwerk Nord West) : centrale électrique du nord-ouest.

Le 27 août 1943, comprenant l'ampleur de cette machine de guerre, les Alliés envoient 200 forteresses volantes B-17 y lâcher plus de 300 bombes, en particulier du type Tallboy. Le blockhaus n'est pourtant pas détruit mais il est néanmoins démasqué. La construction reprend mais le projet d'assemblage et de lancement des fusées est transféré à la Coupole d'Helfaut. L'ouvrage est alors transformé en usine de production d'oxygène liquide, ce comburant étant nécessaire dans les fusées V2.
Les mesures prévues pour l'édifice sont les suivantes :
216 m de long
95 m de large
33 m de haut

Le Blockhaus d'Éperlecques.zip
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Les rails qui équipent ce bunker ne sont pas fonctionnelles dans trainz.

N'oubliez pas de visiter l'intérieur.

FLAKTÜRME.

Les tours de Flak (allemand : Flaktürme) étaient huit complexes de tours anti-aériennes de type blockhaus construits dans les villes de Berlin (3), Hambourg (2) et Vienne (3) à partir de 1940. Elles furent utilisées par la Luftwaffe pour se défendre contre les raids aériens Alliés sur ces trois villes durant la Seconde Guerre mondiale. Elles servirent aussi d'abri anti-aériens pour des dizaines de milliers de personnes et pour coordonner la défense anti-aérienne.

Pourvues de mur en béton de 3,5 m d'épaisseur, les tours de Flak étaient considérées comme invulnérables aux bombes habituellement utilisées par les bombardiers alliés, mais il est peu probable qu'elles auraient pu résister à la Grand Slam qui pouvait pénétrer des structures plus épaisses en béton armé. Il apparaît que les avions ont généralement évité les tours de Flak. Les tours étaient capables de maintenir une cadence de tir de 8 000 coups par minute, avec une portée maximale de 14 km sur 360°. Cependant, seuls les canons de 128 mm avaient une portée efficace pour défendre les tours contre les bombardiers lourds de la RAF. Les trois tours de Flak dans la banlieue de Berlin formaient un triangle pouvant protéger efficacement le centre de Berlin.
habituellement armée de huit (quatre jumelés) canons de 128 mm, de nombreux canons de 37 mm et 32 (huit quads) canons de 20 mm.

3 MODELES DIFFERENTS A TELECHARGER.

Flakturm 01.zip
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flakturm 03.zip
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Artillerie pour tour de D.C.A

12,8 cm FlaK 40 Zwilling .
Le 12,8 cm FlaK 40 est un canon antiaérien allemand utilisé au cours de la Seconde Guerre mondiale. Il fut étudié afin de remplacer le canon de 88 mm . Il fut le canon anti-aérien le plus efficace de la guerre, et comme le 88, il fut décliné en version anti-char.
Type     canon anti-aérien et anti-char
Fabricant     Rheinmetall-Borsig
Date de création     1942
Durée de service     1942-1945
Caractéristiques techniques
Cadence de tir     10 à 12 coups/min
Vitesse à la bouche     880 m/s
Portée pratique     10 675 m
Portée maximale     14 800 m.

8,8 cm Flak 41
Canon lourd à chargement manuel (env. 12-15 coups/min), il est avant tout destiné à la défense statique, stratégique (contre les bombardiers), regroupé en batteries appuyées par des projecteurs ou des radars.
Masse : 5 tonnes
Longueur du tube : 56 calibres
Portée : 10 km en altitude
Servants : 11
(25 000 ex. construits).

3,7 cm Flak 43
Spécifications techniques du Flak 43
Calibre     37 mm
Cadence de tir     250 (cyclique) coups/min
Poids du projectile     0,64 Kg
Plafond pratique     4 800 m
Masse     1 392 Kg
Longueur de l'arme     3,30 m
Élévation     -7,5 ° à 90 °
Rotation     360 °
Vitesse initiale     840 m/s

FLAK 40.zip
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88 position Flak.zip
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german Flak43 3.zip
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Projecteur de 60cm.zip
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Batterie TODT Turm 1 .

La batterie Todt est une batterie d'artillerie côtière allemande de la Seconde Guerre mondiale située au cap Gris-Nez. Elle était l'une des plus importantes batteries côtières du mur de l'Atlantique, équipée de quatre canons de marine de 380 mm d'une portée maximale de 55,7 kilomètres, pouvant donc atteindre la côte anglaise et chacun protégé par une importante casemate de béton armé.
La batterie tira son premier obus le 20 janvier 1944 mais fut officiellement inaugurée en février 1942 en présence de hauts dignitaires de la marine allemande, la batterie étant servie par une garnison de la Kriegsmarine. Initialement nommée batterie Siegfried, elle fut renommée batterie Todt en l'honneur de l'ingénieur nazi Fritz Todt, créateur de l'organisation éponyme et tué quelques jours plus tôt dans un accident d'avion.
Elle fut prise fin septembre 1944 par les troupes anglo-canadiennes après un intense bombardement aérien.
Une des casemates abrite aujourd'hui un musée sur la Seconde Guerre mondiale. À l'extérieur est exposé un canon d'artillerie de marine « K5 » de calibre 280 mm et monté sur wagon. Sa portée dépassait les 80 km.

La batterie TODT est située à 3 km au sud-est du Cap Gris-Nez. Elle possède 4 casemates abritant chacune une pièce de marine de 380 mm. Ces casemates sont installées à contre-pente sur le petit plateau d'Haringzelles, face à Audresselles. Elles sont réparties en croissant dans un rayon de 750m. Outre les canons de gros calibres, cette batterie comprenait également sous son commandement les armes et ouvrages suivants :
14 abris passifs
4 cantonnements légers
1 ceinture de 15 Tobrouks
3 pièces antichars tournées face au sud et dirigées vers l'intérieur de la côte.
9 pièces de FLAK de 75mm d'origine française, installées en cuve de briques au centre de la batterie.
Fondations : 20 m .
Murs apparents : 10 m .
Diamètre : 40 m .
Epaisseur des Murs extérieurs : 3,50 m
Calibre : 380 mm d'artillerie de marine

Batterie TODT.zip
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tourelle todt.zip
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IMPORTANT :

Pour faciliter la mise en place de la tourelle blindée à l'intérieur de la casemate N°1 il faut régler la hauteur du Bunker à  +2,00  et la hauteur de canon à  -1,80.